L'Ivresse Livresque
Bien sûr, vous vous souvenez des trois textes portant ce nom : Ivresse livresque, I, Ivresse livresque, II, Ivresse livresque, III. Ils étaient mon chant d'amour aux livres, à l'objet livre, aux pages, chair de mon imaginaire, à l'encre, sang de mon esprit. Un bon livre n'étant pas nécessairement un beau livre, j'ai décidé aujourd'hui de parler des histoires. Du contenu du livre, de ce qu'il porte et nous apporte.
J'ai décidé de jouer les critiques littéraires amateurs. Amateur venant du latin "amator", celui qui aime, et les livres (de liber, libris l'écorce d'arbre, sur laquelle on écrit) étant pour moi "amandi", devant être aimés, il est tout à fait normal que celle qui aime s'attache à ceux qui doivent être aimés.
D'où le titre de cette nouvelle catégorie, pour ceux qui ne comprennent pas le latin (si, si, ça existe) : Libres Amandi Sunt : les livres doivent être aimés.
Mais en même temps, qui bene amat, bene castigat, et mes textes autour des textes ne seront pas forcément positifs.
Je ne peux évidemment parler de tous les livres que j'ai lus. Ça ferait vraiment trop à rédiger, et puis je suis un peu (beaucoup ?) paresseuse. Je ne peux même parler de tous les livres que je lis - ou relis - parce qu'en disant que l'encre était mon sang, ce n'était qu'à moitié une métaphore. Je suis dépendante à la lecture, littéralement droguée. Je relis beaucoup certains livres, très peu d'autres, mais j'ai aussi besoin de découvrir de nouveaux livres. Ceux qui me connaissent dans la vraie vie savent à quel point je suis invivable en état de manque.
Je parlerai donc de ce que je voudrai, au moment où je le voudrai, sans me sentir obligée de faire un compte-rendu de chaque livre que je lis (ce qui vous lasserait vite je le crains). L'ordre en sera aussi totalement aléatoire entre anciennes et nouvelles lectures.
Je ne suis pas fille d'un seul livre, timeo hominem unius libri, et mon amour s'adresse à tous.
Qui scribit, bis legit, donc si vous voulez critiquer mes propres textes (du moins ceux présents sur ce blog) c'est par ici et par là.
Verba volent, scripta manent, donc il est temps que j'écrive n'est-ce-pas ?
Ah si : pour ceux qui ne comprendraient pas le latin, allez voir cet article de Wikipédia.
J'ai décidé de jouer les critiques littéraires amateurs. Amateur venant du latin "amator", celui qui aime, et les livres (de liber, libris l'écorce d'arbre, sur laquelle on écrit) étant pour moi "amandi", devant être aimés, il est tout à fait normal que celle qui aime s'attache à ceux qui doivent être aimés.
D'où le titre de cette nouvelle catégorie, pour ceux qui ne comprennent pas le latin (si, si, ça existe) : Libres Amandi Sunt : les livres doivent être aimés.
Mais en même temps, qui bene amat, bene castigat, et mes textes autour des textes ne seront pas forcément positifs.
Je ne peux évidemment parler de tous les livres que j'ai lus. Ça ferait vraiment trop à rédiger, et puis je suis un peu (beaucoup ?) paresseuse. Je ne peux même parler de tous les livres que je lis - ou relis - parce qu'en disant que l'encre était mon sang, ce n'était qu'à moitié une métaphore. Je suis dépendante à la lecture, littéralement droguée. Je relis beaucoup certains livres, très peu d'autres, mais j'ai aussi besoin de découvrir de nouveaux livres. Ceux qui me connaissent dans la vraie vie savent à quel point je suis invivable en état de manque.
Je parlerai donc de ce que je voudrai, au moment où je le voudrai, sans me sentir obligée de faire un compte-rendu de chaque livre que je lis (ce qui vous lasserait vite je le crains). L'ordre en sera aussi totalement aléatoire entre anciennes et nouvelles lectures.
Je ne suis pas fille d'un seul livre, timeo hominem unius libri, et mon amour s'adresse à tous.
Qui scribit, bis legit, donc si vous voulez critiquer mes propres textes (du moins ceux présents sur ce blog) c'est par ici et par là.
Verba volent, scripta manent, donc il est temps que j'écrive n'est-ce-pas ?
Ah si : pour ceux qui ne comprendraient pas le latin, allez voir cet article de Wikipédia.