Nabucco
Samedi soir, j'étais au Stade de France, pour voir l'Opéra Nabucco, de Verdi.
Quand on va voir un opéra dans un stade, on se doute bien que l'accoustique sera mauvaise (moi en tout cas je ne me faisais aucune illusion...). Et bien finalement, c'était moins catastrophique de ce point de vue-là que je ne le craignais.
Si on excepte bien sûr le fait que toute l'ouverture a eu lieu avec pour fond sonore les sifflets des agents de circulation, et - là, je ne l'ai toujours pas digéré - une magnifique sirène (police, pompier ou ambulance) en plein milieu du Va' pensiero. Ils avaient bien choisi leur moment...
Donc je ne parlerai pas tellement de la musique en elle-même, ni des chanteurs. Ce n'était pas la meilleure version que j'ai entendue, mais vu les conditions, je salue la performance.
Alors, prima la musica o prima il canto ? Prima il teatro !
Et de ce point de vue-là, quelle soirée extraordianire...
Les décors sont splendides, il n'y a pas d'autre mot, les costumes avaient l'air splendides aussi, mais j'étais trop loin pour les apprécier à leur juste valeur.
Et puis, les choeurs sont nombreux. Quand on dit "le peuple des Hébreux", c'est tout de même différent d'avoir cinq personnes ou d'en avoir quarante...
Pari gagné donc, puisque malgré les conditions accoustiques, la magie de Verdi accomplit toujours son oeuvre...
Quand on va voir un opéra dans un stade, on se doute bien que l'accoustique sera mauvaise (moi en tout cas je ne me faisais aucune illusion...). Et bien finalement, c'était moins catastrophique de ce point de vue-là que je ne le craignais.
Si on excepte bien sûr le fait que toute l'ouverture a eu lieu avec pour fond sonore les sifflets des agents de circulation, et - là, je ne l'ai toujours pas digéré - une magnifique sirène (police, pompier ou ambulance) en plein milieu du Va' pensiero. Ils avaient bien choisi leur moment...
Donc je ne parlerai pas tellement de la musique en elle-même, ni des chanteurs. Ce n'était pas la meilleure version que j'ai entendue, mais vu les conditions, je salue la performance.
Alors, prima la musica o prima il canto ? Prima il teatro !
Et de ce point de vue-là, quelle soirée extraordianire...
Les décors sont splendides, il n'y a pas d'autre mot, les costumes avaient l'air splendides aussi, mais j'étais trop loin pour les apprécier à leur juste valeur.
Et puis, les choeurs sont nombreux. Quand on dit "le peuple des Hébreux", c'est tout de même différent d'avoir cinq personnes ou d'en avoir quarante...
Pari gagné donc, puisque malgré les conditions accoustiques, la magie de Verdi accomplit toujours son oeuvre...